C'est tellement long et énorme que l'on ne sait par où commencer ! De quoi noyer un poisson. Faut pas s'étonner ensuite que certains marchent sur l'eau...
Bonne lecture,
JF Jacobs
Réfutation de l'athéisme (et de son idéologue Richard Dawkins)
L'athéisme :
Richard Dawkins est un biologiste de nationalité britannique, très engagé dans le militantisme athégriste. Il refusa cependant de nombreux débats avec des théologiens, chercheurs, scientifiques et philosophes théistes célèbres et bien préparés (intellectuellement).
On peut définir l'athéisme comme étant la croyance en rien, le faux (l'erreur ; car selon l'athéisme la vérité objective n'existe pas), en l'irréel, en l'absurde et par la négation de la méthode scientifique, par le "rien" (sans aucun fondement, ni consistance, ni pertinence ou cohérence), l'erreur, l'irrationnel, le hasard (cette croyance n'a ni queue ni tête et ne découle pas de l'intelligence, puisque l'intelligence est l'antithèse du hasard), par l'irréel (croyance sans aucune réalité effective), et par l'absurde (car l'athéisme rejette le caractère intelligible et "rationnel" de l'univers) et par la négation de la science (qui découle du caractère intelligible de l'univers et de l'adéquation de l'intelligence humaine pour le comprendre objectivement tout en ayant des vues subjectives). Ils adorent ainsi un néant créateur, sans même le savoir, mais le néant est un mot trompeur, car il signifie l'absence de réalité, ce qui est impossible, puisque le Réel est l'absence de l'Irréel, or il existe quelque chose, donc le Réel existe.
Par conséquent, Dieu-Réel est vrai, mais eux adorent ce qui n'a aucune réalité, ce qui est le comble de l'absurde.
David Robertson's "The Dawkins Letters" (réponse, chapitre par chapitre, aux contre-vérités et assertions de Richard Dawkins).
Selon lequel l'ingéniosité extraordinaire des organes du vivant (oeil, aile, coeur, etc.) apparaît pour certains comme le fruit d'une conception très élaborée, et non d'une somme de mutations hasardeuses, fussent-elles soumises au tamis de la sélection naturelle, laquelle n'est après tout qu'un phénomène purement mécanique. Richard Dawkins reconnaît lui-même que « c'est effectivement un argument de poids » (p.120) et qu'« aux yeux d'un nombre étonnant de théistes, il est absolument imparable. » (p.120) et sa tentative de réfutation est maigre, peu cohérente, et souffre de nombreuses faiblesses et impuissances.
Il prétend tout d'abord retourner l'argument de l'improbabilité contre lui-même en affirmant : « Si improbable statistiquement que soit l'entité que vous cherchez à expliquer en invoquant un concepteur, le concepteur lui-même doit nécessairement être au moins aussi improbable. » (p.121 de son livre "Pour en finir avec Dieu", truffé de sophismes, de contre-vérités, d'erreurs et de raisonnements fallacieux). Mais c'est ignorer que Dieu, ne peut être considéré que comme une entité transcendante, incréée, et qui échappe donc par nature à toute causalité statistique. Et si cela a un sens d'appliquer le calcul des probabilités à l'émergence des êtres vivants, car c'est un phénomène physique, ce n'est évidemment pas le cas pour Dieu, entité métaphysique par excellence.
Par ailleurs, la construction d'un ordinateur, qui est un objet complexe, répondant à des fonctions précises, implique la réalité d'un concepteur à l'origine, encore plus complexe dans ses spécificités physiques. Cela ne rend pas moins son existence impossible. L'argument de Dawkins tombe donc à l'eau. Quant à Dieu, Réalité à l'origine du monde physique, échappe à toutes probabilités, puisqu'Il n'est pas soumis aux conditions physiques. Cela n'a donc strictement aucun sens d'appliquer un principe sur lequel il ne s'applique pas du tout. Et la série de conceptions-concepteurs continue de façon indéfinie tant qu'ils resteront dépendants des limitations inhérentes aux systèmes limités/finis. La chaine causale s'arrête aux frontières avec l'Infini, Absolu, qui ne souffre d'aucunes limites, car au-delà de l'espace-temps, donc au-delà du principe de causalité.
DAWKINS développe six thèses principales dans son ouvrage ("Pour en finir avec Dieu"), étayées par un argumentaire contradictoire et malhonnête :
1. La question de Dieu peut parfaitement s'aborder par la méthode scientifique, comme toute autre question. L'argumentaire développé conduit à la conclusion de l'extrême improbabilité de la Réalité de Dieu (bien que lui-même affirme de ne pas pouvoir le démontrer de façon certaine).
2. Les religions n'ont aucune consistance historique, ni logique, ni éthique.
La croyance est l'effet secondaire résiduel d'un caractère de l'esprit humain retenu par l'évolution pour son avantage sélectif passé et peut-être actuel.
3. Aucune fonction positive ne peut être objectivement reconnue aux religions, que ce soit sur le plan psychologique, culturel, ou moral. Bien au contraire, les religions ont toujours été et elles restent la principale source du mal dans le monde et constituent un frein majeur au développement de la science.
4. La croyance en Dieu a une corrélation négative avec l'intelligence et surtout avec la culture, en particulier scientifique. Elle prévaut essentiellement dans les sociétés sous développées et dans les couches sociales peu acculturées tandis qu'elle est quasiment absente dans le milieu scientifique de haut niveau.
5. Le conditionnement des jeunes enfants par la croyance en Dieu constitue un véritable viol, plus grave même qu'un viol sexuel dans la mesure où il peut laisser des séquelles psychologiques plus permanentes et plus graves.
6. Rien ne justifie de réserver un respect spécial « politiquement correct » aux religions, qui devraient être traitées comme tous les autres domaines de l'opinion.
Il cite également un auteur se disant athée qui disait : « La religion est une offense à la dignité humaine. ».
Nous verrons que son argumentaire s'oppose aux données scientifiques, historiques, logiques et sociologiques.
1. La méthode scientifique ne peut rien prouver quant à l'Essence de la Réalité Divine, mais comme la science l'a montré, les observations scientifiques, suivies des déductions logiques qui s'imposent, posent Sa Réalité comme étant certaine, sans que l'on puisse aller au-delà de cette évidence (puisque les lois de l'univers ne sont pas éternelles ni immuables, elles doivent provenir d'une Réalité-Loi-Source Supérieure, de nature absolue et infini en dernier ressort, car le néant absolu qui n'a aucune réalité propre ne peut rien créer du tout, ce qui montre la nécessité de la Réalité Infinie, Eternelle et Absolue à l'origine de toute chose, car le "rien" ne peut rien produire, et tout système fini existant doit tirer son existence d'une Réalité Infinie pour expliquer sa raison d'être et tirer son origine).
Rappelons également que la méthode scientifique fut fondée, promulguée et popularisée par des scientifiques déistes et théistes.
L'athéisme n'a fait ensuite que récupérer les acquis des scientifiques religieux, tout en détournant souvent la science à des fins politiques et militaires, en l'instrumentalisant (manipulant et asservissant les masses), ce qui provoqua de nombreuses victimes et des conflits majeurs et sanglants du XVIIIe siècle jusqu'à nos jours. Cette contrainte exercée par les idéologies modernes influencèrent même des religieux ou déistes.
2. Au contraire, à l'origine des religions, lorsqu'elles n'étaient pas altérées par la déchéance humaine, étaient tout à fait logiques, positives et éthiques (il suffit de constater que des millions de religieux ou de déistes non-religieux, étaient des scientifiques, des philosophes, des mathématiciens, des âmes altruistes et charitables s'occupant des démunis et des opprimés, etc.). Il ne faut pas confondre l'essence et les fondements des religions, avec ce que certaines personnes en ont fait ou prétendent (car ceux à qui l'on pouvait ou pourraient reprocher des choses, étaient souvent des hypocrites matérialistes, ou des ignorants, ou simplement des pécheurs qui étaient influencés ou tirés par des vices ou idéologies humaines, comme le matérialisme). Il faut donc savoir distinguer la religion des désirs humains (qui l'ont parfois instrumentalisé, comme le furent également certaines idéologies humaines), et des institutions religieuses qui s'en réclament (parfois à tort), pour diverses raisons.
3. Lui-même se contredit, car il dit que la religion ne serait qu'un produit de la sélection naturelle (ce qu'il ne démontre aucunement empiriquement). Donc ce serait selon sa propre croyance, "la faute" de la sélection naturelle et non pas de la religion, donc il devrait haïr la sélection naturelle (la cause du mal selon sa croyance) et non pas la religion. Cela démontre son ignorance et le fait qu'il souhaite simplement régler un compte avec la religion, et non pas réfléchir sainement et objectivement sur la question. Or, il se contredit une nouvelle fois lorsqu'il conclut que la religion devait être un avantage sélectif retenu par "l'évolution", c'est que, par conséquent, elle constituait un avantage, et donc des bienfaits, pour l'humanité.
Maintenant, l'athéisme est-il un bienfait meilleur ? Sur le plan scientifique, l'athéisme n'explique rien et s'oppose à la démarche même de la science (recherche de la vérité, l'intelligibilité, la rationalité, la logique, l'intelligence, les lois de la physique, etc.), bien que des athées eux-même participent partiellement (pas tous) à la démarche scientifique, ils réfutent de ce fait, eux-même, les postulats de l'athéisme sans s'en rendre compte. En effet, beaucoup d'athées essayent de se raccrocher tant bien que mal à l'intelligence, à la logique, à la science (qui étudie les lois de l'univers), à la rationalité, etc., qui contredisent l'athéisme, alors que leur croyance postule un non-sens complet de l'existence, et donc l'absence, selon cette croyance, d'intelligence, de lois (car le hasard est l'absence de lois et de l'intelligence justement), de la logique, de la science, etc.
Sur le plan moral, politique et social, les fléaux, massacres et persécutions de régimes et sociétés athées ont été aussi bien un frein pour la science, que des catastrophes pour l'humanité (nazisme, communisme, fascisme, etc. qui étaient tous influencés dans la pratique par le matérialisme, l'athéisme et le darwinisme, bien que certaines personnes de culture religieuse étaient enrolées de force dans les gouvernements et troupes nazis et fascistes, et ce n'était pas la religion qui motivait leurs actes politiques et militaires). La plupart des scientifiques et des avancées révolutionnaires furent le fait de scientifiques religieux.
L'athéisme n'opère ainsi aucun avantage réel pour l'espèce humaine, et depuis son expansion et son influence (parfois inconsciente) dans les sociétés humaines (souvent imposée de force ou subtilement à la population) et les régimes politiques, l'humanité, tout comme le reste de la planète, sont en voie d'extinction, car la déchéance intellectuelle et la décadence morale provoquées par l'athéisme et les autres idéologies modernes n'ont fait que détruire l'équilibre et l'ordre de la nature et de la société. Par ailleurs, même de nombreux "religieux", et perceptions de la religion, sont influencés par les idéologies modernes (consumérisme, capitalisme, matérialisme, rationalisme, modernisme, communisme, socialisme, etc.).
4. La doctrine théiste a été le moteur de la science, de la philosophie, de la morale, de l'émancipation sociale, de la métaphysique, des mathématiques et de l'art pour des millions de personnes à travers tous les âges, avant que le matérialisme pratique, la culture et les pratiques tribales négatives viennent s'introduire dans les doctrines religieuses, les altérant et opérant une dégénérescence. Il suffit pour cela de s'intéresser "à l'âge d'or" des civilisations traditionnelles (juives, chrétiennes, musulmanes, indiennes, chinoises, égyptiennes, grecques, etc.).
D'ailleurs encore actuellement, de nombreuses sociétés industrialisées ou non adhèrent toujours au déisme ou au théisme, aussi bien dans les milieux favorisés ou non, que parmi les chercheurs et les académiciens, malgré que bon nombre d'entre eux sont négativement influencés par les idéologies modernes. En Corée, en Chine, en Russie actuelle, aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en Espagne, en Italie, en Turquie, en Indonésie, en iran, en Malaisie, en Algérie, au Canada, au Brésil, etc., de nombreux chercheurs, universitaires ou scientifiques se déclarent déistes ou théistes, même si beaucoup d'entre eux se taisent lorsqu'ils travaillent pour des institutions où la question est tabou ou mal perçue (sous les institutions darwinistes et matérialistes, qui accordent des bourses ou des subsides principalement qu'à ceux qui accréditeraient ces idéologies, et non pas à ceux qui se proposent de faire de la science pure et dure, sans préjugés culturels ou idéologiques allant dans un sens déjà prédéterminé). Par ailleurs, des scientifiques déistes ou théistes existent parmi les Prix Nobel et les autres prix scientifiques, comme Lev Landau, Arno Penzias, Robert Wilson (qui étaient des physiciens ayant reçu le Prix Nobel par exemple). Parmi ceux qui se déclarent athées, ils ne le sont pas du fait de la science ou de l'intelligence, qui s'opposent à l'athéisme dans ses fondements et implications logiques, mais par une forme d'éducation basée sur la propagande athégriste et matérialiste, par les préjugés culturels qu'elle véhicule, et par les confusions entre Dieu et les religions d'une part (il est possible de professer la doctrine déiste sans adhérer à une forme religieuse particulière), et entre les religions et certains de leurs représentants indignes. Donc leur athéisme devient un rejet irrationnel de tout ce qui relève du Sacré ou de l'Origine de l'univers (qui est pourtant une réalité indiscutable, car l'univers spatio-temporel n'est pas éternel et provient du Big Bang, et possède donc une "origine" surnaturelle, "précédent" le monde naturel).
En outre, c'est surtout la définition de la Divinité qui leur pose problème, la réduisant à la conception qu'en ont certains mouvements chrétiens, qui représentent Dieu comme étant un être humain de grande taille aux "super pouvoirs", alors qu'à l'origine, ni la Torah ni la Bible ne représentaient Dieu comme cela, et que "l'homme est fait à l'image de Dieu" n'était pas à comprendre dans le sens physique, mais métaphysique, et dans le fait que l'homme spirituel se revêtissait des Qualités Divines telles que la sagesse, la justice, la miséricorde, etc. qui découlaient des Bienfaits de Dieu, mais à des échelles limitées, contrairement à ceux de Dieu, qui étaient parfaits et infinis. Le Qur'ân, les Veda, l'Avesta, les doctrines taoïstes, shintoïstes ou bouddhistes ne représentent pas non plus Dieu (Principe Suprême, Brahma, Tao, Allâh, etc.) sous une forme "humaine" (anthropomorphique)...
En somme, ils sont athées à cause de leur ignorance, des préjugés culturels, des confusions diverses, et de la désinformation dont ils ont été victimes (pour les sincères parmi eux) ou dont ils se sont faits complices et les défenseurs pour les gens malhonnêtes parmi eux.
Devrait-on réduire tous les athées ou l'athéisme exclusivement à Staline ou à Mao, grands sanguinaires et tyrans, ennemis de la science quand celle-ci contredisait leurs préjugés culturels et leurs idéologies matérialistes et athées ?
Il est donc naturel que des grands scientifiques ou des penseurs, sans préjugés culturels, possédant une vaste érudition, motivés par l'intégrité intellectuelle et la quête de Vérité, s'impliquant dans la métaphysique, la philosophie, les mathématiques ou la science, soient des déistes ou des théistes convaincus. D'ailleurs, des génies religieux ou des religieux ayant des formations académiques ou scientifiques poussées existent aussi, même si les diplômes ne signifient rien en soi, si ce n'est la réussite par divers moyens (mémoire, tricherie, complaisance, manipulation habile des concepts, etc.) qui n'impliquent pas forcément le discernement, l'intelligence et l'esprit critique.
5. La religion, lorsqu'elle est bien comprise, vécue et appréhendée par une foi sincère, et l'intelligence, ne peut apporter que des bienfaits. De plus, en vertu de quoi Dawkins dit cela ? Des études ont montré que le déisme-théisme était "naturel" à l'être humain (notamment aux enfants sans préjugés culturels). Et en quoi l'athéisme ne serait pas un viol, sachant ses effets néfastes et pervers sur les sociétés humaines lorsque l'athéisme aboutissait à son paroxysme ? D'ailleurs sur le plan scientifique, des études ont montré que la spiritualité et la religion apportaient de nombreux bienfaits sociaux, physiques, psychologiques et mentaux pour les gens sincères qui y adhéraient. Encore une fois, Dawkins se voit réfuter par la science elle-même.
6. L'athéisme ne garantie aucunement la vérité, la liberté, la justice et la dignité, qu'elle n'affirme pas, et qu'elle rejette même, dans le sens où tout n'est que hasard et non-sens, donc aucun fondement objectif, à cela, n'existe selon l'athéisme. Donc l'athéisme s'oppose à la dignité humaine. Quant aux religions, affirmant que l'homme est une créature de Dieu au même titre que les autres être vivants, il existe une égalité réelle et principielle entre les hommes d'une part (de par leur origine commune et leur mort terrestre, nous sommes tous voués à mourir dans ce bas-monde), et avec les autres être vivants d'autre part, car nous sommes tous nés de prédécesseurs, et aucun de nous n'est absolu, éternel ou législateur absolu, donc nous sommes tous conditionnés par le même Principe Suprême, ce qui nous enjoint à respecter les droits fondamentaux de tous les êtres, tant que notre intégrité intellectuelle, morale et physique ne s'en trouve pas menacer.
Qui plus est, il considère les religieux ou les déistes comme étant mentalement, intellectuellement et moralement inférieurs et déficients, ce qui dénote son esprit sectaire, obscurantiste et contraire aux observations scientifiques strictes. Les valeurs de respect, d'intelligence et d'égalité ne signifient apparemment pas grand chose pour lui (ce qui est une conséquence normale de l'athéisme "pur" après tout).
De plus, il refuse de nombreux débats avec des scientifiques et penseurs sérieux, discutant sur des bases scientifiques. Il n'est pas intéressé par l'objectivité ou la vérité, et veut juste pouvoir faire dans le sensationnalisme comme l'avait démontré le biochimiste britannique Rupert Sheldrake, démontrant la malhonnêteté de Dawkins (dans "Réenchanter la science", paru en 2013), et il n'est pas le seul à l'avoir démontré.
En conclusion, selon le théisme, l'observation scientifique et même selon la sélection naturelle telle qu'envisagée par Dawkins, la religion est un bienfait incontestable, puisque ne gardant que ce qui est avantageux. Donc l'athéisme, sur tous les plans, n'apporte aucun bienfait objectif et réel. D'ailleurs, même les athées, doivent abandonner, dans la pratique, l'athéisme, en de nombreuses occasions (surtout en science, en philosophie et en éthique).
Comme nous le voyons, les six thèses principales souffrent de sérieuses lacunes, et surtout, sont fort contestables du point de vue scientifique, et sont basées sur des contre-vérités flagrantes.
Un "esprit brillant" (tel que le considère de nombreux bigots "aveugles") qui émet les pires sottises possibles, et qui montre très vite son ignorance dans de nombreux domaines.
Selon le philosophe français Alexis Masson : «Lapreuve de Dieu par le commencement, parfois appelée preuve du kalam,a été renouvelée par William Lane Craig. Tout ce qui a uncommencement a une cause, or l'univers a un commencement, donc il aune cause dont l'analyse révèle qu'il s'agit de Dieu. Qu'est-ce quiprouve que l'univers a un commencement ? Le second principe de lathermodynamique, la constante cosmologique, mais aussi et surtoutl'impossibilité logique d'un passé infini. Avec l'univers ont étécréé le temps, l'espace, la matière, etc. donc la cause del'univers n'est rien de tout cela, elle est éternelle, infinie,immatérielle. Et dans la mesure où elle avait le choix de créer ounon, puisqu'elle ne dépend pas de la création, celle-ci estpersonnelle. Il s'agit de Dieu».(Alexis Masson, « La preuve de Dieu par le commencement »,saison 3, 7 août 2011).
Au cours de la même émission, il émitl'argument suivant : «L'universexiste, mais son existence est contingente, ce qui signifie qu'ilaurait pu ne pas exister. C'était une possibilité. D'ailleurs,aucune de ses composantes ne contient en elle-même la raison de sonexistence, mais dépend d'une causalité extérieure. D'après leprincipe de raison suffisante, tout ce qui existe a une raison quiexiste son existence et sa manière d'être, rien n'est sans raison.Si tel est le cas, alors tout ne peut pas être contingent, sinonrien n'aurait ultimement de raison. Il faut donc qu'il existe un Êtrenécessaire et Absolu*, cause de l'univers. Et celui-ci n'étantcontraint en aucune façon par l'univers (puisqu'il est nécessaireet absolu), il avait le choix entre plusieurs alternatives(l'existence ou non de l'univers, entre ce type d'univers ou unautre), ce qui implique une intelligence et une volonté poureffectuer ce choix. C'est une preuve cosmologique, par la contingencede l'univers, de la preuve de Dieu».
La Source de l'univers est donc différente de l'universlui-même, et ne dépend donc pas de ce qu'Il a créé (temps,espace, matière), par conséquent, la Source même du monde matérieln'a rien de « hasardeux » puisqu'Elle est indépendanteet supérieure aux processus physiques. Or, les relations entre lescauses et les effets naturels n'existent plus au-delà del'espace-temps (ou de toute autre chose de créée ou de limitée) àce niveau-ci.
* L'Essence de la Source est doncIncréée, et non-soumise au principe de causalité qui concerne cequi est conditionné par des limites, comme l'espace et le temps,au-delà, ce principe n'a plus lieu d'être.
« Ce système si merveilleux qui est l’univers avec le soleil, les planètes et les comètes ne peut que provenir de la volonté et du pouvoir d’un être intelligent…
Cet être gouverne toute chose et pas seulement le monde.
Reconnaissant son pouvoir sur toute chose, on se doit de l’appeler "Seigneur Dieu" ou "Le souverain universel"… Ce Dieu suprême est un être éternel, infini et absolument parfait ».
(Isaac Newton, "Principia", livre N°3, cité dans «Une sélection des écrits de Newton» de H.S. Thayer, p.42).
«En prenant compte d’une telle harmonie dans le cosmos, que j’arrive à reconnaître avec mon cerveau humain limité, il existe cependant des gens qui disent qu’il n’y a pas de Dieu. Mais ce qui m’énerve réellement c’est qu’ils me citent afin de supporter leur point de vue».
(Albert Einstein, Extrait du livre d’Alice Calaprice “The Expanded Quotable Einstein”, 2000, p.214).
Néanmoins,la conception de la Divinité qu'avait Einstein n'était pas celle duDieu telle que représenter par de nombreux mouvements chrétienstardifs (de type anthropomorphistes). Il se disait aussi athée (dansle sens de négateur) par rapport à certaines conceptionsreligieuses « devant un prêtre », comme celles del'anthropomorphisme chrétien, et non pas par rapport à Dieu (entant que Réalité Transcendante et Immanente).
Et Albert Einstein disait aussi dans une lettre en guise de réponse à un élève (de Princeton) lui ayant posé une question sur ses convictions : «tous ceux qui sont sérieusement intéressés par la quête de la science acquièrent la conviction qu'un esprit se manifeste dans les lois de l'univers – un esprit immensément supérieur à l'homme et devant lequel nos modestes pouvoirs doivent se sentir humbles».
Aujourd’hui, à l’instant du Big Bang, l’univers est encadré par une série de constantes cosmologiques qui gouvernent à chaque instant chaque étape de la naissance de la matière. A tel point que certains physiciens parlent de miracle car sa naissance est parfaitement ordonnée ce qui a fait dire à Georges Smoot prix Nobel que «le Big Bang est l’évènement le plus cataclysmique que nous puissions imaginer, et à y regarder de plus près apparaît finement orchestré».
L'astrophysicienGeorges Smoot, grâce aux données recueillies par le satellite COBE(Cosmic Background Explorer) a pu enregardant les premières images du rayonnement fossile s'exclamer :«C'estcomme voir le visage de Dieu». «Quelque chose semble inscrit danscette lueur de l'aube cosmique. Comme un code mystérieux que GeorgesSmoot a appelé l'écriture manuscrite de Dieu. Remonter en arrièrejusqu'à la création, regarder l'apparition de l'espace et du tempset de l'univers et de tout ce qu'il y a dedans, mais aussi voirl'empreinte de Celui qui a fait tout çà».(Georges Smoot, "Science", p.802, 1997, dans "Igor etGrichka Bodanov", p.70).
L'astrophysicien Trinh Xuan Thuan qui nous explique une constatation acceptée par tous les chercheurs, appelée principe anthropique : "L’univers se trouve avoir, très exactement, les propriétés requises pour engendrer un être capable de conscience et d’intelligence. Les astrophysiciens peuvent jouer aux dieux créateurs en construisant des modèles d’univers, chacun avec sa propre combinaison de constantes et de conditions initiales, grâce à la puissance des ordinateurs modernes. La question… qu’ils se sont posée pour chaque modèle d’univers est: héberge-t-il la vie et la conscience après une évolution de 13,7 milliards d’années?.
(...) La réponse est…: la vaste majorité des univers possède une combinaison perdante (…) – sauf le nôtre (…) La précision stupéfiante du réglage de la densité initiale de notre univers est comparable à celle que devrait montrer un archer pour planter une flèche dans une cible carrée d’un centimètre de côté qui serait placée aux confins de l’univers, à une distance de quelque 14 milliards d’années-lumière.» «Aucun scientifique ne contestera le réglage très précis des constantes physiques et des conditions initiales de l’univers pour permettre notre existence (…) Les débats surviennent quand il s’agit d’aller plus loin, quand on aborde le principe anthropique fort (…) : ce réglage est-il dû au seul hasard? Ou bien résulte-t-il de la nécessité, si bien que les valeurs des constantes… sont les seules permises? Disons-le tout de suite: la science est incapable de trancher entre ces deux propositions. Une autre raison pour laquelle je m’insurge contre l’hypothèse du hasard est que je ne puis concevoir que toute la beauté, l’harmonie et l’unité du monde soient le seul fait de la chance (…) Je pense qu’il faut parier, comme Pascal, sur l’existence d’un principe créateur (…) mais c’est un postulat que la science est incapable de démontrer, qui relève de la métaphysique". (Trinh Xuan Thuan, "Je ne crois pas au hasard", http://www.atoi2voir.com/atoi/visu_article.php?, citation similaire dans son ouvrage "Le chaos et l'harmonie", 1998).
Néanmoins,la conception de la Divinité qu'avait Einstein n'était pas celle duDieu telle que représenter par de nombreux mouvements chrétienstardifs (de type anthropomorphistes). Il se disait aussi athée (dansle sens de négateur) par rapport à certaines conceptionsreligieuses « devant un prêtre », comme celles del'anthropomorphisme chrétien, et non pas par rapport à Dieu (entant que Réalité Transcendante et Immanente).
Et Albert Einstein disait aussi dans une lettre en guise de réponse à un élève (de Princeton) lui ayant posé une question sur ses convictions : «tous ceux qui sont sérieusement intéressés par la quête de la science acquièrent la conviction qu'un esprit se manifeste dans les lois de l'univers – un esprit immensément supérieur à l'homme et devant lequel nos modestes pouvoirs doivent se sentir humbles».
Aujourd’hui, à l’instant du Big Bang, l’univers est encadré par une série de constantes cosmologiques qui gouvernent à chaque instant chaque étape de la naissance de la matière. A tel point que certains physiciens parlent de miracle car sa naissance est parfaitement ordonnée ce qui a fait dire à Georges Smoot prix Nobel que «le Big Bang est l’évènement le plus cataclysmique que nous puissions imaginer, et à y regarder de plus près apparaît finement orchestré».
L'astrophysicienGeorges Smoot, grâce aux données recueillies par le satellite COBE(Cosmic Background Explorer) a pu enregardant les premières images du rayonnement fossile s'exclamer :«C'estcomme voir le visage de Dieu». «Quelque chose semble inscrit danscette lueur de l'aube cosmique. Comme un code mystérieux que GeorgesSmoot a appelé l'écriture manuscrite de Dieu. Remonter en arrièrejusqu'à la création, regarder l'apparition de l'espace et du tempset de l'univers et de tout ce qu'il y a dedans, mais aussi voirl'empreinte de Celui qui a fait tout çà».(Georges Smoot, "Science", p.802, 1997, dans "Igor etGrichka Bodanov", p.70).
L'astrophysicien Trinh Xuan Thuan qui nous explique une constatation acceptée par tous les chercheurs, appelée principe anthropique : "L’univers se trouve avoir, très exactement, les propriétés requises pour engendrer un être capable de conscience et d’intelligence. Les astrophysiciens peuvent jouer aux dieux créateurs en construisant des modèles d’univers, chacun avec sa propre combinaison de constantes et de conditions initiales, grâce à la puissance des ordinateurs modernes. La question… qu’ils se sont posée pour chaque modèle d’univers est: héberge-t-il la vie et la conscience après une évolution de 13,7 milliards d’années?.
(...) La réponse est…: la vaste majorité des univers possède une combinaison perdante (…) – sauf le nôtre (…) La précision stupéfiante du réglage de la densité initiale de notre univers est comparable à celle que devrait montrer un archer pour planter une flèche dans une cible carrée d’un centimètre de côté qui serait placée aux confins de l’univers, à une distance de quelque 14 milliards d’années-lumière.» «Aucun scientifique ne contestera le réglage très précis des constantes physiques et des conditions initiales de l’univers pour permettre notre existence (…) Les débats surviennent quand il s’agit d’aller plus loin, quand on aborde le principe anthropique fort (…) : ce réglage est-il dû au seul hasard? Ou bien résulte-t-il de la nécessité, si bien que les valeurs des constantes… sont les seules permises? Disons-le tout de suite: la science est incapable de trancher entre ces deux propositions. Une autre raison pour laquelle je m’insurge contre l’hypothèse du hasard est que je ne puis concevoir que toute la beauté, l’harmonie et l’unité du monde soient le seul fait de la chance (…) Je pense qu’il faut parier, comme Pascal, sur l’existence d’un principe créateur (…) mais c’est un postulat que la science est incapable de démontrer, qui relève de la métaphysique". (Trinh Xuan Thuan, "Je ne crois pas au hasard", http://www.atoi2voir.com/atoi/visu_article.php?, citation similaire dans son ouvrage "Le chaos et l'harmonie", 1998).
Dansune interview des scientifiques et chercheurs Bogdanov, tirée dujournal Suisse “Le Matin” en 2010(http://www.lematin.ch/loisirs/culture/freres-bogdanov-dieu-radiation-fossile-284651/),voici ce que l'on peut y lire :
«-Vous avez enfin trouvé Dieu ?
Igor : Oui, Dieu existe de manière très évidente. L'image d'un ordre extrêmement précis est associée à la première lumière qui précède le big-bang. L'univers n'est pas né du hasard, mais il a été régi par cet ordre. Les lois, qui ont bien dû être édictées par quelque chose, remontent à plus de 13 milliards d'années; elles correspondent à un scénario qui forme le code cosmologique -c'est-à-dire le code génétique - de l'univers. Celui-ci obéit à des combinaisons de nombres qui ne sont pas là fortuitement. Ils sont le produit d'un réglage si fin, d'une conception et d'une précision si inimaginables qu'ils ne peuvent pas être le fruit du hasard.
Grichka : Nous pensons que l'on peut aller vers Dieu à travers l'astrophysique théorique et la cosmologie. Oui, on peut trouver Dieu grâce à la science ! C'est ce que nous développons dans ce livre. Une cause -que nous acceptons d'appeler Dieu - a réglé les vingt premiers paramètres cosmologiques qui sont à l'origine de la création de l'univers. Tout a fait sens à partir de ce moment précis. Igor etmoi voulons apporter un message d'espoir à tous ceux quicherchent.
- Mais c'est quoi Dieu pour vous: un rayonnement, une force, une intelligence, un être ?
Igor : Il est une intelligence, un esprit. La lumière n'est qu'une trace de Sa Présence. Pour nous, Dieu correspond à ce qu'a dit Einstein en 1936: «Tous ceux qui sont impliqués dans la science finiront par découvrir qu'un esprit, immensément supérieur à l'homme, se manifeste dans les lois de l'univers.» Dieu est le créateur. C'est une question aux confins de la science et de la foi.Grichka: Dieu est une information au sens qu'il est immatériel. Il n'est ni énergie, ni être [?]. Il échappe à toute dénomination, Dieu est transcendant. Après avoir expliqué le Big Bang, on se demandait forcément d'où venait cette titanesque explosion. Dans notre bouquin ["Le visage de Dieu"], nous sommes remontés avant le Big Bang, quand la matière et l'énergie n'existaient pas. C'est là que se trouve l'information, tel un code génétique qui contient déjà toutes les données qui régleront l'univers. Comme l'a dit le chercheur Max Planck : «Toute la matière n'existe qu'en vertu d'une force, derrière laquelle nous devons supposer un esprit conscient.»Dieu est "prouvé"».
En effet, défini ainsi, l'évidence de la Réalité Divine saute aux yeux.